Le mystère Alzheimer ( Je suis aide soignante )
En ce jour j'avais envie de vous faire partager ma profession d'aide soignante (je vais réintegrer maf onction en JUIN 2007 en qualité d'aide soignante au sein d'un cantou de MEDICA FRANCE en savoie ). C'est pourquoi je fait cet article pour VOUS qui avez certaines inquietudes et questions en tout genre ; alors voici le fruit de mes recherches POUR VOUS !!!!!!!!!!!
Le mystère Alzheimer :
Notre espérance de vie augmente et avec elle le risque de développer la maladie d'Alzheimer, qui touche aujourd'hui 800 000 Français. Un siècle après la description du premier cas, que sait-on de cette pathologie ? Quels sont ses causes, ses symptômes et ses traitements ? Ce que vous devez absolument savoir sur la maladie d'Alzheimer
A l'origine d'une dégénérescence de certaines cellules nerveuses, la maladie d'Alzheimer altère le fonctionnement du cerveau. Dans un premier temps, les malades éprouvent des difficultés à se souvenir et à comprendre. Cette maladie rejaillit sur l'entourage. Lorsqu'un proche en est atteint, il est parfois utile faire le point ; vous y aide en huit étapes.
1 - Les soins médicaux entrant dans le cadre de la maladie d'Alzheimer sont pris en charge à 100 % par la Sécurité sociale ;
2 - Toutes les associations spécialisées vous aideront à mieux comprendre la maladie. Elles participeront aux conseils de tous les jours que ceux-ci concernent la personne malade ou ses proches ;
3 - Il existe actuellement près de 800 000 cas recensés de maladie d’Alzheimer en France ;
4 - La maladie d’Alzheimer survient après soixante ans, sauf de très rares cas de formes familiales qui débutent plus tôt. Dans ces formes génétiques des tests de confirmation sont possibles ;
5 - L’anxiété ou la dépression qui surviennent dans la maladie d’Alzheimer doivent être traitées médicalement. Suivez scrupuleusement les conseils et l’ordonnance du médecin qui s’occupe du malade ;
6 - Le traitement de la maladie elle-même est nécessaire. Il permet de diminuer les signes de la maladie en particulier les troubles de mémoire et d'améliorer la qualité de vie des patients atteints. Cependant ils n'agissent pas sur la cause de la maladie. Les médications actuelles donnent parfois des troubles digestifs (diarrhées, vomissements). Parlez-en à votre médecin pour qu’il les change si nécessaire ;
7 - Le passage domicile-institution se fait lorsque l’aidant n’est plus en mesure d’assurer son propre rôle, que la sécurité du patient est en jeu ou que la totalité des soins ne peut plus se faire à domicile. En moyenne il se fait pour 70 % des patients après sept ans d'évolution de la maladie ;
8 - Les coordonnées de l’association France Alzheimer sont : 21, Boulevard Montmartre. 75002 Paris. Téléphone : 01 42 97 52 41. N’hésitez pas à consulter les bénévoles qui répondront à toutes vos demandes.
Maison virtuelle : des réponses concrètes !
- avril 2002
Pour ces personnes atteintes de pathologies chroniques, la vie à domicile recèle certains pièges. Comment adapter le logement afin de minimiser les risques liés à la maladie et ainsi faciliter le maintien à domicile ? Préserver l'autonomie des malades passe parfois par de petits travaux simples.
Améliorer le confort et garantir la sécurité des malades
Consultable gratuitement sur Internet, la Maison Virtuelle
Une navigation intuitive
La navigation a été extrêmement simplifiée et est accessible aux plus novices. Pour chaque pathologie, il suffit de définir les difficultés ou incapacités de la personne (se déplacer, assurer son confort, communiquer, prendre ses repas, soigner son aspect extérieur.), pour ensuite choisir une pièce (salon, chambre, salle de bain, salle à manger, cuisine, entrée-escalier-WC) et découvrir les objets susceptibles de poser problème.
Les risques associés à chaque objet sont expliqués, et des solutions sont proposées.
Parmi les principaux points aborder, on peut noter :
- Les risques de chutes à l'origine de 9 000 décès chez les plus de 65 ans ;
- Les accidents domestiques ;
- L'amélioration du confort de la personne malade.
Ce service a été conçu avec la collaboration du Comité national français de liaison pour la réadaptation des handicapés (CNRH), du Bureau français de l'épilepsie (BFE), de l'agence Healthexperts et de nombreux professionnels de santé (ergothérapeutes, psychosomaticiens, instructeurs en locomotion, experts en déficience visuelle, ergonomes, spécialistes de la motricité chez les sujets handicapés, neurologues, gériatres, épileptologues, etc.).
Le cantou est une formule d'accueil pour les personnes âgées désorientées ou souffrant de la maladie d'Alzheimer.
· A la fin des années 70, la création du premier Cantou (centre d'animation naturel tiré d'occupations utiles), à Rueil-Malmaison, en banlieue parisienne, par Gérard Caussanel, répondait à un objectif simple : faire cohabiter des personnes âgées séniles avec d'autres moins désorientées pour stimuler les premières et tenter de préserver leur autonomie. Il est à noter que le mot cantou est également un mot provençal, encore utilisé de nos jours, qui signifie le foyer, l’âtre.
· Un cantou cherche donc à offrir un foyer, un lieu de vie communautaire à des personnes désorientées. Dans le cantou, les résidents vont trouver un espace où la communication, l'entraide et les relations sont favorisées. Les personnes âgées sont invitées, en fonction de leurs possibilités et de leurs souhaits, à participer à tous les actes de la vie quotidienne (épluchage des légumes, mise de la table, vaisselle, pliage du linge).
· Le cantou va donc préserver ou rendre aux personnes une certaine autonomie. C’est le groupe qui va aider à sauver l'autonomie individuelle dans un environnement protégé. Stimulé par les membres du personnel et sa famille à laquelle il est demandé de s'impliquer dans le projet, le résident pourra mieux exploiter toutes les potentialités qui lui restent. Cette sollicitude rassurante va diminuer l’anxiété. les familles, déstabilisées par la détérioration mentale d'un de leurs parents âgés, sont impliquées. L’esprit des cantous, c’est offrir un lieu d’accueil, mais aussi de préserver au maximum le lien familial en intégrant les membres de chaque famille, par la participation aux activités et à des rencontres.
Dans l’esprit du cantou, Personne ne peut ni ne doit prétendre remplacer les proches dans les deux domaines de l’apport affectif et de la responsabilité.
· Concrètement, un Cantou est une petite unité autonome qui accueille une douzaine de personnes. Les chambres sont le plus souvent individuelles avec, pour chacune d'elles, une salle de bains avec lavabo, un WC, une douche. Les chambres ne sont pas éloignées d'une grande pièce commune qui permet, dans le même lieu, de préparer les repas, de les partager, de se reposer et de passer la journée. La cuisine est intégrée ou proche et accessible aux résidents. Une terrasse extérieure ou un jardin seront facilement accessibles. Ce lieu de vie est donc un espace de liberté. Les responsables du cantou et les autres membres du personnel sont polyvalents. Ils accompagnent et se tiennent à la disposition des résidents en évitant de se substituer à eux pour tous les gestes de la vie qu'ils peuvent encore effectuer seuls
· Le cantou va donc préserver ou rendre aux personnes une certaine autonomie. C’est le groupe qui va aider à sauver l'autonomie individuelle dans un environnement protégé. Stimulé par les membres du personnel et sa famille à laquelle il est demandé de s'impliquer dans le projet, le résident pourra mieux exploiter toutes les potentialités qui lui restent. Cette sollicitude rassurante va diminuer l’anxiété. les familles, déstabilisées par la détérioration mentale d'un de leurs parents âgés, sont impliquées. L’esprit des cantous, c’est offrir un lieu d’accueil, mais aussi de préserver au maximum le lien familial en intégrant les membres de chaque famille, par la participation aux activités et à des rencontres.
Dans l’esprit du cantou, Personne ne peut ni ne doit prétendre remplacer les proches dans les deux domaines de l’apport affectif et de la responsabilité.
· Concrètement, un Cantou est une petite unité autonome qui accueille une douzaine de personnes. Les chambres sont le plus souvent individuelles avec, pour chacune d'elles, une salle de bains avec lavabo, un WC, une douche. Les chambres ne sont pas éloignées d'une grande pièce commune qui permet, dans le même lieu, de préparer les repas, de les partager, de se reposer et de passer la journée. La cuisine est intégrée ou proche et accessible aux résidents. Une terrasse extérieure ou un jardin seront facilement accessibles. Ce lieu de vie est donc un espace de liberté. Les responsables du cantou et les autres membres du personnel sont polyvalents. Ils accompagnent et se tiennent à la disposition des résidents en évitant de se substituer à eux pour tous les gestes de la vie qu'ils peuvent encore effectuer seuls